Archive for décembre, 2019


Je vous souhaite à tous et toutes une bonne et heureuse année 2020 !!

Santé surtout, bonheur, amour et la réalisation de vos voeux les plus chers.

En 2020, je ferez un article sur mes nouvelles randonnées tout en terminant 2019 car j’ai encore de très belles randonnées et photos à vous décrire ! 🙂

A très bientôt !

Diane

Je vais mieux aujourd’hui et comme la veille, je n’avais pu attendre pour le Moucherolle à côtés olives, j’ai vu qu’il y en avait un à St-Hyacinthe.  Je ne donnerai pas l’endroit exact puisque c’était une résidence privée dont la madame m’a accepté sur son terrain jusqu’au moment où ce Moucherolle viendrait.

Elle était très contente que je puisse la renseigner sur le chant qu’elle entendait depuis quelques jours et ne savait pas que c’était le moucherolle à côtés olives.

Sur son terrain, tout était très bien aménagé pour les oiseaux.

Donc en attendant mon lifer, j’ai photographié les oiseaux qui s’y trouvaient.

Je débute par des chardonnerets jaunes.

J’ai eu l’opportunité de saisir un moment où la maman est venu nourrir les jeunes de cette année.

Parmi les fleurs oranges, il y avait un beau Grand Monarque.

Dans un petit arbre, se trouvait un Cardinal à poitrine rose, une belle femelle.  Je n’ai pas réussi à photographier le mâle car il était plus discret que la femelle. Elle est tellement belle ! J’aime beaucoup les couleurs vives de sa poitrine.

Tous les espèces de moucherolles, ou presque, étaient dans les environs, dont le moucherolle tchébec, le plus petit moucherolle.

Dans le champs un peu plus loin.

Au bout du terrain, j’ai vu un Moucherolle des aulnes, il s’est laissé prendre en photo comme une vedette !

Sur les branches mortes se tenaient des jaseurs d’Amérique.

Brève visite d’une oriole de Baltimore, surtout, très bien cachée dans le petit arbre.  J’ai réussi cette seule photo.

Alors que je n’y croyais plus et que je commençais à penser partir, tout au haut d’une branche morte, j’ai enfin vu le Moucherolle à côtés olives !!! 🙂  Quel bonheur !!

Voici ma plus belle photo, tenant compte qu’il était très haut !

Parmi les autres branches mortes.

Je termine donc cette merveilleuse journée en remerciant la propriétaire qui m’a gentiment permis de réaliser ces photos.

J’ai maintenant, depuis le début de l’année, 74 espèces dont 10 lifers.

J’explore un nouvel endroit que j’ai connu en regardant des espèces que je voudrais voir et photographier si possible.  C’est ce qui m’amène à ce Boisé du Marais Georges à Laval.

J’ai le bonheur de voir un lifer soit un viréo de Philadelphie, la photo n’est pas aussi claire que j’aurais voulu, mais elle représente très bien l’oiseau.

Ensuite, un moqueur chat, un peu timide vient me rendre une trop courte visite.

Un bruant chanteur fit une brève apparition également.

Il y avait plusieurs moucherolles phébi à cet endroit, c’est certain que j’en prendrais un en photo.

Dans les fouets de branches d’arbre mortes, il y avait des jaseurs d’Amérique également.  C’est le type de perchoirs qu’ils aiment. Un jeune de cette année se tient sur cette branche.

Cachée par un petit bosquet dans l’eau, j’ai vu une gallinule d’Amérique.  J’ai réussi à faire mon focus pour bien la photographier alors qu’elle sortait à l’extrémité.

Je n’ai pas pu rester longtemps et attendre que d’autres oiseaux viennent faire leur tour, je dois quitter.

J’ajoute somme toute un lifer, je l’ai classé dans mes oiseaux à mieux photographier, mais le fait de l’avoir vu me remplit de joie.

Je termine cette courte journée avec 69 espèces et 9 lifers 🙂

Ça fait une couple de jours que je vois que deux cygnes noir sont rapportés dans la région de Drummondville.

Plusieurs pensaient que c’était des échappés, mais ils étaient super trop beaux, donc, sans le compter dans mes espèces, j’aurais bien aimé les photographier quand même.

Arrivé à l’endroit où ils se tiennent, c’est un moqueur chat qui m’accueille.

C’est certain que je vais le prendre en photo !! 🙂

Les propriétaires des cygnes noirs sont finalement là pour récupérer leurs cygnes noir.

Alors qu’un des cygnes essayait de s’échapper, j’ai pu prendre cette photo, trop près, c’est quand même une photo référence.

Ils ont finalement pu reprendre les deux cygnes et les ramener dans leur ferme.

Sans compter le cygne noir dans mes espèces, j’ajoute quand même mon premier moqueur chat cette année !

Je termine avec 68 espèces dont 8 lifers en cette courte soirée de photographie.

C’est une très belle journée, un moucherolle à ventre jaune vu la veille au Parc Armand-Bombardier et André-Corbeil-dit-Tranchemontagne me décide à aller tenter ma chance.

A mon arrivée, le marais était totalement contre-jour.  Je crois l’avoir aperçu, mais je n’ai pas eu le temps de prendre une photo, je ne saurai jamais si c’était vraiment le moucherolle à ventre jaune ou pas.

Je décide d’aller me promener un peu plus en forêt en attendant que je puisse réaliser de bonnes photos au marais.

J’aperçois un pic chevelu, j’ai le temps de prendre cette photo

Il y a plein d’immatures pics flamboyants.

J’ai l’opportunité d’être près d’un jeune pic lors de son nettoyage des plumes.  On distingue alors très bien ses plumes jaunes à la queue.

J’ai pris également cette photo alors qu’il s’était étiré l’aile pour la nettoyer.

En revenant vers le marais, je peux enfin photographier le moucherolle phébi, un autre immature.

En train de se nettoyer les ailes lui aussi !

C’est la période des immatures, je vois aussi ce bruant chanteur, du moins, c’est ce que j’ai identifié.

Je vais diner et je décide d’aller à la Sablière de St-Lazare voir s’il y a présence de limicoles.

L’endroit a beaucoup changé depuis que je n’avais pu y venir.  Les hirondelles ne semblent plus y nicher, l’eau s’est rempli si bien qu’on a l’impression d’avoir perdu des sentiers.

Malgré tout, je repère un grand héron.  Je n’ai pas le temps de l’approcher car il s’envole, d’où cette photo.

Il y a quelques limicoles, vraiment très peu.  J’ai le plaisir de photographier ce Grand chevalier.

Très joli avec sa patte en l’air, comme s’il dansait !! 🙂

Il semblait trouver de quoi se nourrir.

Puis, il y a deux bécasseaux minuscules.

J’ai eu le temps de le photographier également de dos, ils étaient très actifs au niveau de recherche de nourriture.

Il y a également un pluvier semipalmé, c’est un de mes limicoles préférés.  Pour le photographier, faut suivre son tempo.  Il fait quelques petits pas, s’arrête un peu, et repart aussitôt.  Donc, faut être prêt à déclencher lorsqu’il s’arrête un peu.

Ils sont tellement mignons !

Vînt le tour maintenant au Pluvier kildir.  Ils ont deux colliers et plus grands que les pluviers semipalmés.

A ce temps-ci, ils ne montrent plus leur plumage orangé au croupion.

J’ai la chance d’avoir aussi un Goéland à bec cerclé, très près.

En train d’hérisser ses plumes.

La luminosité tombe de plus en plus, les dernières photos ont été prises sans la présence de soleil.  Je décide donc de mettre fin à cette merveilleuse journée.

A la sortie, il y a 3 tyrans tritri.  J’en photographie un sur le fil d’électricité.

Je termine donc avec 67 espèces dont 8 lifers et le coeur remplit de joie d’avoir enfin pu revoir des limicoles !

Ayant dû mettre fin à ma randonnée hier, je reviens aujourd’hui au même endroit car je n’avais pas pu photographier à mon goût les marouettes de Caroline.

Donc, aujourd’hui, je me rends directement à l’endroit où se tiennent les marouettes de Caroline.

Bien entendu, pendant que j’attends cet oiseau, je ne peux m’empêcher de photographier les râles de Virginie qui y sont encore très présents.

Le bébé de cette année

J’ai eu l’opportunité aussi de revoir l’immature

A quelques reprises, l’adulte qui n’arrêtait pas de chercher de la nourriture, sans répit, pour nourrir les jeunes de cette année.

J’aime bien celle-ci également.

Et voici enfin les marouettes de Caroline !  Tellement occupé à se nourrir, qu’elle oublie ma présence.

Avec la queue bien en l’air

Se promenant pour se nourrir

Où on distingue très bien ses longs doigts

J’ai eu la chance de voir également un jeune canard noir

Durant l’attente de revoir sortir les marouettes, j’ai vu un rat musqué en train de se nourrir.

On était à la fin de l’après-midi, donc, la luminosité commençait à diminuer, si bien que je suis revenue vers le stationnement.

Un immature gallinule d’Amérique attira cependant mon regard, impossible de ne pas le photographier.

Je suis très heureuse d’avoir pu y retourner puisque les marouettes de Caroline se montra plus que la veille.

L’an prochain, c’est certain que je vais tenter ma chance encore à ce nouvel endroit si magnifique pour ce type d’oiseau.

Je finis cette journée encore avec 61 espèces dont 8 lifers.